Mia Egawa (fini la présentation)

Mia Egawa

Diary

10 Lignes mini
 Mon histoire ? Réellement ? Très bien... Je naquis dans une famille de déjà 4 enfants, je fus celle qui désordonna tout, un nombre impaire ! Dans ma famille, les nombres impaires étaient une genre de phobie, un signe de malheur ; à y penser maintenant, ce n’était peut être pas totalement faux. Ils voulurent me tuer à la naissance, mais les yeux de ma mère plongé dans les miens la firent pleurer, pourtant, dans cette famille personne n'était aussi sensible, sauf bien sûr étrangement mon père, qui pourtant, lui n'avait pas dit un seul mot pour éviter de me tuer, ce fut grâce à ma mère que je fus sauvée, mais aussi à cause d'elle que je naquis, ma mère était une femme dur et aride, presque insensible parfois, mais pourtant, de son instinct maternelle, elle adorait ses enfants, et je fus sa préférée, mes yeux bleus d'antan la firent craquer et pleurer, elle était une fille de grand magicien, et elle en était une aussi, à ses mots du 13 février, la fille qui naquit (moi) pour créer un désordre des chiffres paires dans cette famille, qui fut aussi au monde le 13 février, un mois d'hiver, un jour de malheur, et pourtant des yeux magnifiques et plein d'espoir d'après elle, mais avait-elle eut autant raison ? 

"A mes mots de ce jour ci, je promet de protéger cet enfant à mes risque et périls, contre tout attente, elle sera celle née d'un jour de malheur, un vendredi 13, mais un enfant d'espoir qui devra toujours avoir de l'espoir et vivre de son plein grès, un sourire et des cheveux d'or, des yeux qui ne devrons jamais perdre de l'éclat ! "

Il parait que après cette phrase j'avais sourit à ma mère et avait pouffé un petit rire me blottissant contre elle. A cette époque, j'avais 4 frères, et donc la seule fille, c'est aussi pour cela que ma mère m'avait gardé, la seule fille, la plus petite, et apparemment la plus jolie. Depuis mon plus jeune âge j'avais toujours était proche de ma mère, mes parents me mirent dans des écoles d'humain, mais... J'étais une enfant spéciale, parfois, lorsque je m'énervais, selon des témoignages de personne que mes parents leur firent oublier, lorsque j'étais en colère, on pouvait presque apercevoir des flammes dans mes yeux, quand je pleurais et que l'on regardé mes yeux, on pouvait presque voir une mer agitée par le chagrin.

Un beau soir, le jour de mes 7 ans, toute la famille fut là, mais dans le grand manoir où l'on habité tous, une silhouette se présenta au grande porte du domaine, un jour de pluie, comme tous les jours de mes anniversaires, comme tous les 13 de février. C'est un passage très dur pour moi, cet homme fut laissé entrée par ma brave et aimable famille, moi au bout de cette longe table, et lui de l'autre bout, il s'était apparemment perdu et ne savait où allé, il mangea alors avec nus, fit la fête avec un sourire et pourtant toujours une allure qui me disait de me méfier de cet homme, mais plus tard dans la soirée, lorsque qu'on m'offrit mes cadeaux pour mon septième anniversaire, il m'offrit aussi quelque chose après avoir vu mes yeux bleus d'espoir, j'avais souris à cet homme voulant oublié mon instinct, il répéta des mots.

" La fille aux yeux bleus qui naquit d'un jour de grand malheur, se voit attribué un dons sacré, que jamais elle ne devra laissé échapper, au grand malheur si cela se produisait"

Un cadeaux, plutôt de la pure poisse oui, la famille avait souris, moi je ne comprenais pas mais m’efforçais de sourire. 
Dans la nuit, lorsqu'on fut tous couché, même cet homme à l'allure farouche, il se leva dans la nuit, et tua tous les membres de ma famille, du moins presque tous, c'est lorsqu'il vint dans ma chambre, qu'il vit mon visage endormis, mon visage pâle, qui répété une fois encore ses mots du diable.

" La filles aux yeux bleus qui naquit un jour de grand malheur, se voit attribué des aujourd'hui, des yeux orangés par la poussière de sa vie, ce dons sacré qu'on lui offrit, fut ce soir libéré par ce visage endormis, et le grand malheur se produisit, emmenant également toute trace de sa génération de sang."

Je m'étais alors réveillé quelques temps après, sonné par ces paroles qui tournait dans ma tête. Jé m'étais rendu dans la chambre de mes parents en disant que j'avais fais un cauchemar comme j'avais l'habitude pour me blottir contre eux, mais... Au lieu de ceci, je vis mon père une dague dans le cœur, ma mère a moitié à la fenêtre avec le peu de souffle,  je me jetai les larmes aux yeux par cet atrocité que je voyais, je lui pris la mains, la regardai dans les yeux avec les miens humide, elle dit des derniers mots.

" A ces mots ce jour ci... J'avais promis de protéger cet enfant à mes risques et périls... Parce qu'elle a perdu son sang d'origine, elle ne devra jamais... " 
elle avait vu mes yeux orangés, devenir rouges, rouge par la colère que j'avais contre cet homme, et les larmes rouges de sang, de peine par l'amour que j'avais pour eux tous. Elle se reprit alors, s'adressant bien à moi cette fois.

"Mia... tu ne devras... jamais plus pleuré que ce soir... Tu devras gardé ça... Rappelle toi de tes origines... rappelle toi... de Egawa... ton nom de sang... tu es la perle d'or... de ma vie... J'ai promis de te protéger... je continuerai car j'ai échouer..."

Elle resserra sa main dans la mienne, essuyant quelques larmes rouges sur mon visage, et mis dans ma mains, une perle doré, inscrit " E " pour Egawa. Et murmura pour la dernière fois.

"Mimi... fille qui me fit pleurer... ressentir tant d'amour... je t'aime ma petite... chérie... "

Les derniers mots de ma mère, qui résonne encore dans mon cœur, mais surtout, la colère des mots de cet homme qui avait osé tué la femme qui avait eut pitié et qui enfreignit les règles des chiffres de cette famille. Ce soir là, j'avais jamais pleuré autant, dans le sang de ma mère, blottit pour la dernière fois contre elle, les larmes n'en finissant jamais.

On m'avait retrouvé, du moins des magiciens d'un grand cercle, contre ma mère, toujours pleurant contre elle, sa main dans la mienne.
Je fut muette, jusqu'à mes 13 ans, là, je recommençai un peu à parlé, un magicien qui devint mon tuteur m'envoya alors ici à mes 11 ans, espérant que je recommence à vivre après ce malheur.

Je déteste mon anniversaire, je ne raconte jamais à personne mon histoire, et ne dis rien sur moi et ma famille. Mes 4 grands frères ont disparut, et la seule femme et le seul homme que je n'aimerai jamais plus autant, sont partit sur cette Terre il y a maintenant  un bon temps. Mon cœur saigne toujours, mais la rage y restera à jamais.